Sabine Delcour
Je répertorie des routes et des chemins à l’écart des villes, des sentiers éphémères qui s’accordent à la nature du sol, des zones en marge où la nature s’accommode suivant les saisons et les régions.
Au fil du temps, un maillage personnel se dessine peu à peu. Peu importe les destinations, elles sont le prétexte à une errance à la croisée des chemins pour interroger les frontières et les passages du
monde visible au monde sensible, là où le paysage peut se lire comme une histoire de la «nature humaine».